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12 septembre, 2007

Recette: Mezzalune au pecorino sarde

Depuis que j'ai enménagé dans ce nouveau quartier, je redécouvre grâce au petit traiteur italien du coin les saveurs du pecorino goûté pour la premiere fois il y a un an à Naples. Ce fromage au lait de brebis connaît une diversité de préparation. Aujourd'hui voici le pecorino sarde et une petite recette de ma composition pour le cuisiner.


Pour deux personnes:
- Pecorino sarde en copeaux bien affiné
- mezzalune fraiche fourrées à la tomate et au basillique
- 12 fines tranches de saucisson des Abruzzes
- 4 tomates moyennes

Recette:
- pêler les tomates, les vider, les couper en petits morceaux et les faire suer dans une poelle
- faire cuire les mezzalune
- les tomates réduites presque à sec, ajouter les tranches de saucisson
- mélanger
- ajouter les mezzalune une fois al dente
- mélanger et laisser compoter une minute
- dresser
- ajouter les copeaux de pecorino sarde
- une pincée de basilique
- servir accompagner d'un verre de Cannonau

20 juin, 2007

A vos Shakers!

L'été arrive, alors pour tout papagénéen - c'est ainsi que se nomment les lecteurs du Papageno - qui se respecte, l'heure du café frappé à sonné! Alors fouiller dans vos placard à la recherche de vaut shaker, la recette est toute simple. Faite passer un double expresso dans votre machine à expresso habituelle - oui c'est la recette Papageno, c'est donc corsé - et ajouter si vous le souhaitez un petit sucre comme pour servir votre café. Vider un barre de glaçons dans votre shaker et verser y votre tasse de café. Après, c'est lhuile de coude: secouez jusqu'à ce que la mousse soit la plus importante possible, elle se déduira d'elle même après. et vous n'avez ensuite qu'à servir. Pour les gourmands, vous pouvez aussi frapper un Moka ou un capuccino, mais le meilleur cappuccino freddo est tout de même Piazza di Spagna...

17 janvier, 2007

Coincidences alla turca

Alors voilà, 23h approche je viens de finir un article sur la société constantinopolitaine - oui Mathieu tu ne rêves pas - dans mon mug Starbucks Istanbul infuse un thé noir de là-bas. Ma lampe en fer forgée et en verre soufflé abrite une bougie inutile mais jolie quand même et mon fond d'écran me présente une vue du Bosphore prise de Topkapi... coïncidence que tout celà? Remarquez qu'il n'avait fallu à Proust qu'une tasse de thé et une madeleine pour écrire toute une oeuvre. Je ne suis pas Proust, il m'en faut un peu plus pour me souvenir d'Istanbul. Alors bien entendu Istanbul c'est le Grand Bazar ou les bijoux précieux cotoient les kilims et les strings, c'est Sainte-Sophie, la mosquée bleue, celle de Soliman ou le petite merveille de Rüsten Pacha... C'est cette vue sur la Corne d'or depuis la Pointe du Sérail, les calanars frais et fris dégustés en mars dernier sur, ou plutot sous, le pont de Galata, l'appel tea, le sis kebab véritable... Mais pour moi Istabul c'est aussi une petite émotion éprouvée en mars dernier ou il y a un an et demi des premiers pas dans le marché aux épices... Une giffle de safran, de cury, de parfum de fruits secs... la dégustation des loukoums d'une boutique à l'autre, la négociation de 300 g. d'infusion à la pomme séchée pour Emilie ou ce thé offert partout par plaisir... Bref, et après on me demande comment de l'étude de l'histoire moderne de l'Europe centrale je finis orientaliste...