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17 juin, 2007
Un mauvais résultat pour tous

13 juin, 2007
Le scrutin majoritaire: une si laide exception française...

Libellés :
élections législatives 2007,
France,
Géo,
politique
10 juin, 2007
Il y avait des élections aujourd'hui

Je suis un démocrate exigent, je crois que l'on na pas le droit de dire que l'abstention est de la faute des candidat. Je pense que l'on a les gouvernements et les députés que l'on mérité, qu'ils sontle reflet de nos exigences politique et que l'on a pas à démarcher des électeurs comme des consommateurs pour aller voter. Le vote est affaire d'exigence politique et morale, pas d'un marché des voix. Mais je crois aussi à l'indifférence envers le pouvoir en place qui est aussi une forme de protestation politique. Un pouvoir n'existe que parce qu'il est reconnu, et en s'opposant on le reconnait. Ne pas s'y opposer mais ne pas s'y soumettre, c'est je crois une grande modernité politique. Le fruit pourri par manque d'oxygène et tombe de lui même. Je n'appelle pas à l'abstention, j'ai voté pour le Modem, mais j'ouvre juste la voix de l'idée d'un possible. Et pitié, arrêtez avec cette argumentation minable visant à faire culpabiliser les français de ne pas voter alors que d'autres personnes dans le monde n'en ont pas le droit.
05 juin, 2007
La biodiversité politique française menacée: est-ce bien là le problème...?

Après avoir appellé au vote utile et à la concentration des voix sur son candidat à l'occasion du premier tour des élections présidentielles, la gauche agite aujourd'hui la peur d'une chambre bleue horizon et la nécessité de conserver une "biodiversité politique" au sein de l'Assemblée nationale. Je cherche la cohérence du discours de cette gauche, agitant les idées selon ses besoins passant de l'une à l'autre sans trop se soucier d'une ligne intellectuelle qui donnerait sens à son action. Il fut un temps pas si lointain ou voter pour François Bayrou ne servait à rien puisqu'il n'aurait ni de majorité à gauche, ni de majorité à droite. Aujourd'hui, tout le monde s'accord pour que le modem obtienne quelques sièges au nom de la survie de cette biodiversité. Je suis un partisan de la proportionelle intégrale, mais je n'accepte pas de mélanger mes convictions avec ceux dont les idées sont des girouettes sensible au sens du vent. Pour moi la proportionnelle est une question de principe et ceux qui agitent l'épouvantail de la IVème République agitent aussi des idées sans trop savoir de quoi ils parlent. Pour cela, lisez les historiens et l'affaire sera plier. Partout en Europe, à l'exception de l'Angleterre, le corps législatif est élu au suffrage proportionnel, et tout ces pays sont gouvernables. La France n'a fait que connaître des majorités stables depuis 30 ans, et aucune réforme d'envergure n'a été efficace. Quel système est lacunaire, celui où l'on discute les projets de lois ou celui dans lequel on se couche devant le gouvernement? Mais la gauche n'a pas cette conviction, la gauche ne cherche qu'à maintenir ses groupes, à négocier des accords électoraux, à conserver son temps de parole... Le PS qui pleurt aujourd'hui derrière le risque de virage fort du régime est celle qui l'a permis en inversant le calendrier électoral, en donnant au président un rôle primordial et en subordonnant de fait les élection slégislatives à la sienne. A quand la refondation?
Arrêtons de pleurer sur la perspective que l'assemblée bascule encore plus à droite qu'elle ne l'a été pendant cinq ans. Qu'avons nous ici à reprocher à Nicolas Sarkozy et à l'UMP? Il joue sur notre terrain, selon les règles que nous avons nous-même instituer. Nicolas Sarkozy a été elu, et l'Assemblée prochaine le sera aussi, sur un véritable projet de société. L'UMP a une vision du monde, ses électeurs sont convaincus par se projet, ils y crois, leur vote est positif. La gauche n'a su, et ne continu qu'à proposer une vote négatif, contre Sarkozy, elle a été incapable en cinq ans de proposer un projet de société ambitieux et cohérent, de dessiner un horizon d'attente et tout simplement de prendre ses responsabilités. C'est pour cela que nous avons perdu, et franchement j'ai du mal à voter pour de telles personnes. Si nous n'acceptons pas la façon dont tournent les choses en ce moment, reprochons le à la gauche et non à Sarjkozy, reprochons le à nous-même de n'avoir pas su égiger des partis de gauche suffisamment de rigueur et d'éthique. L'urgence ce n'est pas tout sauf une majorité de droite écrasante, mais tout sauf une gauche pitoyable et sans dignité.
28 mai, 2007
Désir d'avenir, mépris du présent

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