31 octobre, 2006
l'esprit des papagenades...
Papageno, charmant petit oiseleur mozartien est l'archetype trompeur d'une légèreté profondément pesée par le libretiste pour adresser une badinerie perçante à qui de droit. Papageno, sorte de Figaro? Peut-être, les seconds rôles de Mozart sont semblables en cela qu'ils ne font pas que mettre en évidence le héro, mais ils l'éclairent, lui révèle une profondeur et parfois ses imperfections. Second rôle tout de même me direz vous... Certes, mais cela n'est pas tant un manque d'ambition qu'une modestie vaniteuse. Papageno l'oiseleur, attrape les colombes et les met en cage. Ne fait-on pas de même avec l'information, dès lors que celle-ci est écrite, médiatisée et normalisée ne serait ce que par sa forme? Mais je ne veux pas informer, juste m'exprimer et laisser libre cours à mes humeurs. Je vous promet d'être lache, malhonnête et immoral, mais j'espère pour le moin susciter dans mes humeurs un agrément suffisant pour vous donner envie d'y revenir.
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1 commentaire:
nous y reviendrons plutôt deux fois q'une très cher!!
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